Vacances j'oublie tout
"Partir, partir... On a toujours un bateau dans le coeur, un avion qui s'envole pour ailleurs..."
Reste de chorale ou de cours de musique, je ne sais plus... Ceux qui étaient là s'en souviennent peut-être? Moi je reste désespérée de constater le nombre d'inutilités enregistrées dans ma mémoire comme cette chanson de Julien Clerc qui remonte donc au collège...
Ce soir elle ressurgit. Ses paroles surtout.
Dernière semaine.
Dernière avant le temps béni des vacances.
Dernière avant de retrouver les Schtroumpfs dont le quotidien m'échappe depuis 4 semaines interminables, et une 5e qui commence...
Dernière avant de retrouver l'océan, le Finistère, les frères et sœurs, neveux, nièces, Maman.
Bon on y pense tous alors autant le dire: l'absent ne sera pas là en même temps que partout... Et un peu plus du côté du Mat Pilote, forcément...
5 jours de boulot avant la quille.
Avant la Bretagne, oui, comme chaque année.
Moi qui adore le changement, qui rêve de découvertes et de nouveaux horizons, et qui n'ai jamais vécu sur cette terre bretonne plus que le temps des vacances, j'y retourne, inlassablement, chaque année.
Chaque année nous rejouons les mêmes vacances, les mêmes balades, les mêmes plages, la même crêperie (en même temps c'est la meilleure la crêperieSaint Maurice), plus quelques découvertes.
Chaque année les mêmes soirées, sous une tonnelle tordue cette fois, dans le jardin, derrière.
Chaque année la nuit étoilée au bord de la Laïta le plus beau feu d'artifice de Bretagne Sud.
Chaque année les beaux-frères qui ne se quittent pas, chaque année les frangines qui rigolent, qui s'engueulent (reste d'enfance probablement), qui pleurent et qui rient de pleurer et de s'engueuler.
Chaque année les enfants qui nouent des liens de plus en plus fort, entre eux, avec nous, avec leurs oncles et tantes, et leur grand-mère.
Chaque année des cousins, des cousines, des amis accueillis sous la tonnelle, de tous horizons, de toutes cultures mêmes...
L'année dernière Rosa l'amie portugaise, Xav et Oli venus en avion de Bremen, Elodie ma chère amie...
Cette année Mat et P'tit Lu avec leurs Schtroumpfs... Anne et Lydie peut-être? D'habitude elles sont là une année sur 2, alors?
Le temps des vacances la grande maison trouve sa raison d'être, devient notre raison d'être: ensemble, dans le partage, le temps des vacances, le temps de vivre, le temps de se souvenir et d'ajouter des souvenirs (sans) aux souvenirs (avec).
De créer des racines chaque fois plus profondes à nos merveilles.
Ah. Oui. De fêter mon anniv et celui de la p'tite frangine. Et de passer les années en se promettant de passer les suivantes, toujours ensemble.
Allez. Plus que 5 jours de travail pour 3 semaines d'Océan. La Bretagne se mérite.
Un jour peut-être le travail sera auprès de l'Océan?
Reste de chorale ou de cours de musique, je ne sais plus... Ceux qui étaient là s'en souviennent peut-être? Moi je reste désespérée de constater le nombre d'inutilités enregistrées dans ma mémoire comme cette chanson de Julien Clerc qui remonte donc au collège...
Ce soir elle ressurgit. Ses paroles surtout.
Dernière semaine.
Dernière avant le temps béni des vacances.
Dernière avant de retrouver les Schtroumpfs dont le quotidien m'échappe depuis 4 semaines interminables, et une 5e qui commence...
Dernière avant de retrouver l'océan, le Finistère, les frères et sœurs, neveux, nièces, Maman.
Bon on y pense tous alors autant le dire: l'absent ne sera pas là en même temps que partout... Et un peu plus du côté du Mat Pilote, forcément...
5 jours de boulot avant la quille.
Avant la Bretagne, oui, comme chaque année.
Moi qui adore le changement, qui rêve de découvertes et de nouveaux horizons, et qui n'ai jamais vécu sur cette terre bretonne plus que le temps des vacances, j'y retourne, inlassablement, chaque année.
Chaque année nous rejouons les mêmes vacances, les mêmes balades, les mêmes plages, la même crêperie (en même temps c'est la meilleure la crêperieSaint Maurice), plus quelques découvertes.
Chaque année les mêmes soirées, sous une tonnelle tordue cette fois, dans le jardin, derrière.
Chaque année la nuit étoilée au bord de la Laïta le plus beau feu d'artifice de Bretagne Sud.
Chaque année les beaux-frères qui ne se quittent pas, chaque année les frangines qui rigolent, qui s'engueulent (reste d'enfance probablement), qui pleurent et qui rient de pleurer et de s'engueuler.
Chaque année les enfants qui nouent des liens de plus en plus fort, entre eux, avec nous, avec leurs oncles et tantes, et leur grand-mère.
Chaque année des cousins, des cousines, des amis accueillis sous la tonnelle, de tous horizons, de toutes cultures mêmes...
L'année dernière Rosa l'amie portugaise, Xav et Oli venus en avion de Bremen, Elodie ma chère amie...
Cette année Mat et P'tit Lu avec leurs Schtroumpfs... Anne et Lydie peut-être? D'habitude elles sont là une année sur 2, alors?
Le temps des vacances la grande maison trouve sa raison d'être, devient notre raison d'être: ensemble, dans le partage, le temps des vacances, le temps de vivre, le temps de se souvenir et d'ajouter des souvenirs (sans) aux souvenirs (avec).
De créer des racines chaque fois plus profondes à nos merveilles.
Ah. Oui. De fêter mon anniv et celui de la p'tite frangine. Et de passer les années en se promettant de passer les suivantes, toujours ensemble.
Allez. Plus que 5 jours de travail pour 3 semaines d'Océan. La Bretagne se mérite.
Un jour peut-être le travail sera auprès de l'Océan?
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